Les Champs de Bataille de Brienne La Rothiere et ses environs


Les Champs de Bataille de Brienne - La Rothière et de ses environs
 Hauts lieux de la Campagne de France 1814.


2 Février - 3 Mars 1814
Bataille de Thennelières


)



Plaque Etape n°18

Dès le 2 Février, les troupes aux ordres du général Dulong de Rosnay repoussèrent à Thennelières, l'entrée de quelques éclaireurs qui s'étaient avancés de Lusigny à Saint-Parres-aux-Tertres.
Un mois plus tard, le 3 Mars 1814, le général François Gerard git dans la paille, malade dans le presbytère de Thennelières. Le maréchal Oudinot est à Troyes en seconde ligne. Gerard a trois divisions pour bloquer l'entrée de la ville . Il a placé  Duhesme à la Guillotière, Rottembourg  sur les hauteurs de Laubressel et Jarry en liaison entre les deux. Les Cuirassiers de Saint Germain couvrent la route de Troyes à Saint-Parres-aux-Tertres. Oudinot  commet l'erreur de ne pas défendre Bouranton.

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 La division Rottembourg se cantonnait à Laubresel Bouranton Nuisement et Doches et se reliant à droite par Thennelières avec le 2em Corps de Gerard. La cavalerie de Saint Germain à l'exception de 200 chevaux envoyés à Laubresel et de 100 postés au pont de la Guillotière, s'établissait à Thennelières et Ruvigny.

 3 Mars 1814
Bataille de Laubressel



Wittgenstein avait formé ses 3 colonnes d'attaque sur les hauteurs de Mesnil-Sellières, à 1h00 sa colonne de gauche (prince Gortschakoff) marche de Doches sur Laubressel. Le prince Eugène de Wurtemberg (droite et centre du VI Corps) se dirige en même temps de Bouranton sur Thennelières. Il a pour mission de culbuter la gauche des lignes Françaises et de leur couper la retraite sur Troyes.


La division Rottembourg résiste à Laubressel aux efforts des Russes de de Gortschakoff.

Plaque Etape n°17




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Laubressel vue sur Mesnil-Sellières.


   Position de JARRY et ROTTEMBOURG - à gauche de l'image le village de Bouranton à droite de l'image le village de Dorches, au centre de l'image le VI Corps de Wittgenstein descend de Mesnil-Sellières en direction de Laubressel, en agrandissant l'image on retrouve l'axe qu'a emprunté Wittgenstein pour descendre sur Laubressel. Pahlen parti de Doches avait envoyé sur Laubressel son infanterie, les hussards d'Oviopol et les Ulhans de Tchougouïeff. Un régiment de cuirassiers servati spécialement de soutien à quelques pièces d'artillerie à cheval qui dirigèrent leur tir contre la droite de la division Rottembourg. Les Français ont négligé d'occuper Bouranton, résultat des opérations le général Rüdiger avec les hussards de Grodno, un régiment de cuirassier et les cosaques de Rebrikoff fonce sur Thennelières. Le général Gerard échappe à la prise des cosaques.



A gauche de l'image arrivée du IV Corps de Wurtemberg de Bouranton à Laubressel, les troupes de Jarry sont au contact de l'adversaire.



Entre Mesnil-Sellières et Doches
 le moulin fut le témoin du passage des troupes du VIem Corps de Wittgenstein.


  Février 1814
PINEY

Passage de la retraite de Napoléon après la bataille de la Rothière - les halles emplacement de la vieille Garde.



Plaque Etape n°16





2 Février 1814
Le Pont de Lesmont

L'empereur afin de couvrir sa retraite avait massé les divisions Meunier et Decouz*, soutenus pas 24 bouches à feu chargées de donner à la cavalerie Française le temps nécessaire pour prendre position derrière l'infanterie et d'arrêter par le feu, la cavalerie du IV Corps. Le prince Royal de Wurtemberg n'ayant pas d'infanterie sous la main fut obligé de faire halte. L'Empereur profita de ce mouvement rétrograde pour ramener à 4h00 le gros de ses troupes sur la rive gauche de l'Aube.


Plaque Etape n°15



Pont Actuel de Lesmont


 Emplacement approximatif du Pont de Lesmont en 1814


Gyulay dont le corps d'armée était arrivé en ligne forma la brigade Czöllich par bataillons en masse  sur les hauteurs de Précy. Il comptait attaquer Lesmont par la gauche, pendant que le général Stockmayer avec 4 bataillons du IVem Corps se porterait contre ce point  en suivant la chaussé.


 Les poutres des maisons avoisinantes et de la halle ont servit à re construire le pont de lesmont.





2 Février 1814
Les Combats de Rosnay &
le site stratégique du pont de la Garenne





Le pont de Rosnay sur la Voire


Avec la pointe de son avant garde (3em bataillon de chasseurs autrichiens et régiment de hussards Archiduc-Joseph), Wrede se porta rapidement en avant dans l'espoir de s'emparer des ponts* existants à l'ouest de Rosnay sur les différents bras de la Voire et qui font communiquer ce village avec Lassicourt l'objectif de Wrede et de séparer Marmont du reste de l'Armée. Les chasseurs à pied autrichiens et deux escadrons de hussards réussirent à passer sur la rive droite de la Voireou ils furent même rejoints par quelques compagnies d'infanterie de Szeckler. Mais après avoir bravement resisté à deux attaques de Marmont, ils furent chargés et sabrés par la cavalerie lègère de Piquet. Malgré l'arrivée en ligne de la division Rechberg, les attaques de Wrede, tant celles dirigées en avant de Lassicourt que celles tentées à droite par la brigade du prince Charles de Bavière, échouèrent complètement contre les habiles dispositions de Marmont. Au soir Tous les efforts du Vem Corps vinrent se briser contre la résistance énérgique et habilement dirigée de quelques faibles bataillons français.

Les Ulhans de Schwarzenberg, en remontant le cours de la Voire, avait découvert un gué aux environs de Rances Passant la rivière sur ce point, ils menaçaient l'aile gauche de Marmont.



Plaque Etape n°13 et 14



Témoin de la bataille de Rosnay



Ont pris part au combat de Rosnay

le 98em de ligne
le 121em de ligne
le 132em ligne
le 142em de ligne
le 2em et 12em Cuirassiers


 L'Eglise de Rosnay témoin de la bataille du 2 février 1814



 Emplacement du passage des  hussards Archiduc-Joseph qui repoussent les troupes de Lagrange et Piquet.

2 Février 1814
 le site stratégique du pont de la Garenne






29 Janvier 1814
Bataille de Brienne
Blücher prend la fuite

A la sortie de Maizières, Rottembourg déploie ses tirailleurs en soutien, puis vers 3h30, l'artillerie du Duc de Bellune et de la Garde préparent l'entrée en ligne de l'infanterie. A droite des régiments de Victor, les Voltigeurs du Contre Amiral Baste progressent en avant de Maizières, suivis par les 7em et 8em Régiments qu'entraine le général Decouz, et vont atteindre Brienne.  Les rues de ka ville grimpent en pente raide jusqu'au château, dont les fenêtres sont éclairées. Blücher et son état-major dinent et boivent,saccagent les collections.



Plaque Etape n°1 2 3 4





Général de Brigade François Forestier - Mort des suites de ses blessures reçues à Brienne le 5 février 1814
Commandant de la 2em division du 2em Corps sous Victor.


Derrière le général Châtaux 400 soldats du 2em Corps viennent troubler la fête. Ney entraine ses voltigeurs dans le dos des bataillons de Sacken et d'Olsuvieff; Decouz est blessé mortellement, Baste tombe mort dans les bras du lieutenant Saint-Amand en criant "en Avant"


Le parc du Château de Brienne - Arrivée des troupes du général Châteaux.


Les incendies éclairent les scènes de carnage; Contamine et Castanié, majors des 1er et 6em Voltigeurs, sont grièvement atteints, les 3 divisions de la jeune Garde perdent 30 officiers et 1000 hommes.



Déroulement de la Bataille de Brienne

Pendant que l'Empereur décidé à enlever Brienne, prenait ses dispositions pour accentuer son attaque par sa droite, il pressait la marche des divisions de Ney. Trois colonnes furent chargées de l'opération contre Brienne. L'une celle du centre, forte de 6 bataillons de la division Decouz de la jeune garde, et conduite par Ney, devait se porter sur la ville par la route de Maizières. L'autre celle de gauche, devait renouveler sa première attaque, qui n'avait pas eu les résultats désirés. La 3em enfin sous les ordres du général Châteaux, était destiné à prendre tout à fait à droite, à se porter par la route de Lesmont sur les derrières du château de Brienne. Pahlen formait ainsi l'extrème droite de Blücher avec toute sa cavalerie, renforcée par celle de Landskoi, de Pantchoulitcheff, de Wassiltchikoff, et par les corps volants de Stcherbatoff et de Biron. La cavalerie Française était déployée à droite des lignes Françaises dans l'espace compris entre la route de Lesmont à Brienne et celle de Maizières à Brienne.



A Gauche de l'image la route de Lesmont arrivant sur Brienne, au centre la route de Maizières à Brienne - Emplacement de la cavalerie Française.
Suite du déroulement de la Bataille de Brienne (en construction).

 A Minuit les Prussiens sont en retraite
Dans la plaine, entre Brienne et les bois, les feux s'allument. La garde bivouaque autour de Maizières, ou l'Empereur arrive après avoir échappé à un hourra de cosaques, au cours duquel Lefevre-Desnoëttes a été blessé au coté gauche.

29 Janvier 1814
Napoléon surpris par une bande de cosaques



Plaque Etape n°4


L'arrivée surprise des Cosaques - Emplacement approximatif.

29 Janvier 1814
l'éléve retrouve son ancien maître.

Le curé du village, le père Henriot, ancien profeseur de Napoléon à l'école de Brienne, hissé sur un cheval de Roustam, ne l'a pas quitté de la journée; Il vient de mettre le pied à terre pour accueillir au presbytère son ancien élève.


Eglise de Maizières.

Plaque Etape n°5


1 Février 1814
Pont de Brienne-la-Vieille.

Le soir du 1er Février Napoléon na pu vaincre dans la bataille de la Rothière qui lui a été imposée. Il dicte ses dispositions : le 2 février à l'aube le général Nansouty avec 3000 chevaux et 12 pièces d'artillerie à cheval sera en position, sur la gauche un peut en arrière de Brienne-la-Vieille. Le général Gerard sera en avant de Brienne-la-Vieille sur 3 lignes; l'une à la tête du village, l'autre à la queue, la 3em dans le bois à la hauteur de Brienne-le-Château. Le général Ricard et sa cavalerie passeront le pont une heure plus tard avant de marcher sur Piney.

Plaque Etape n°12

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Le pont de Brienne-La-Vieille - 1er Février 1814.



Au fond à gauche le vieux Moulin détruit, témoin de la Bataille.

Mais revenons sur la grande Bataille



1 Février 1814
La défense de Dienville.

Gerard tient Dienville et le pont de l'Aube


Plaque Etape n°11



Premiers mouvements de Gyulay sur les 2 rives de l'Aube

1er action passage du pont d'Unienville 
Général Major Pflüger avec 4 bataillons, 4 canons et 2 escadrons du régiment de chevau-légers de Kleneau. Le pont d'Unienville faiblement défendu par un faible poste avancé.
La brigade Pflüger enleva facilement le pont et le village débouchant sur la rive gauche, direction Dienville. 



Le pont d'Unienville - Attaque du Général du Major Pflüger - L'armée de Giulay pivote sur Dienville avec 12 000 baionnettes et 1500 sabres.


2em action attaque par les 2 rives de l'aube de Dienville
Gerard à l'ordre de se maintenir à tous prix à Dienville. L'une des brigades de la division Ricard, la brigade Boudin fut chargée de la défense du pont et des hauteurs qui en commandent les abords sur la rive gauche tandis que Pelleport s'établissait en arrière et à l'est de Dienville et que la division Dufour, se reliant avec la brigade du général Picquet, se déployait en seconde ligne derrière cette brigade, entre Dienville et la Rothière.
La brigade Pflüger est renforcé par la brigde Czollich, 6 bouches à feu et quelques escadrons.


Brigade Piquet - Division Dufour - Division Ricard

La Brigade Pelleport défend le pont de Dienville


Dans les premières maisons l'héroique résistance de la Brigade Boudin



1 Février 1814
Bataille de la Rothière

Etalés sur un front de 3 lieues, 40 000 soldats Français attendent l'attaque des 90 000 Austro-Prussiens.
L'affaire s'engage vers 1h00, autour de la Rothière défendue par Duhesme et que couvre de boulets l'artillerie de Nikitin, en action à proximité du village.
Nansouty en profite aussitôt pour enlever les escadrons de Cavalerie légère de Guyot qui sabrent les canonniers russes, puis sous la menace de chasseurs à cheval Russes, se replient derrière leur artillerie. Peu après tandis que le canon gronde sur le Petit-Mesnil et La Giberie, les cavaliers de Colbert et de Krasinski repoussent aisément l'attaque de 2 divisions de Hussards conduite par Landskoi, mais sont culbutées par les escadrons de Wassilitchikoff et 4 régiments de Dragons de Sacken; serrées de près, les unités de la garde galopent vers leur réserve que commande Lefort, à l'ouest de la Rothière.
Piré qui est à droite de Grouchy a dans un éclair, aperçu le danger; il enlève ses Chasseurs, les lance sur le flanc des Russes et les arrête. L'affaire à couté 24 pièces à l'artillerie à cheval de la Garde. La Bataille fait rage sur tout le front. A Dienvilel Giulay ne peut entamer l'infantereie de Dufour. Dans la Rothière, écrasée par le feu de 72 pièces Duhesme se défend autour de l'église et dans la partie nord du village.



Plaque Etape n°9








Croisement des routes - de gauche à droite Trannes à Brienne, en haut route de Dienville.


Sur la route de Dienville à la Rothière Position des divisions Dufour et Piquet.


Sur la route de la Rothière au petit Mesnil positions des troupes de Victor et de la cavalerie de Nansouty.


Position du Corps de Victor entre la Rothière et le Petit-Mesnil

Eglise du Petit-Mesnil - Témoin de la Bataille.



le Corps d'Eugene de Wurttemberg  rentre sur le champ de bataille de la Rothière.



 La route de Trannes à Beauvoir qu'emprunte le Corps d'Eugene de Wurtemberg.



LA GIBERIE

Axe stratégique - à droite sortie de la Giberie qu'occupe Château avec 1900 hommes - à gauche la route de Trannes que va emprunter le Corps d'Eugene de Wurttemberg pour se positionner sur Beauvoir et arrivé sur le champ de bataille -  par la route de gauche défile la Kavallerie-Division Adam von Württemberg, la Brigade Walsben, la Brigade Jett, Infanterie-Division Koch, la Brigade Döring, et bien d'autres troupes.


DE LA FERME DE BEAUVOIR SUR CHAUMESNIL

De la ferme de beauvoir


Plaque Etape n°7
 Beauvoir




1 Février 1814
CHAUMESNIL

Le IV Corps se porte sur la Giberie - la 4em colonne des Alliés (le IVem Corps), sous les ordres du prince royal de Wurtemberg, à laquelle on avait adjoint 5 escadrons du régiment de hussard autrichiens Archiduc-Ferdinand, avait d'après la disposition générale, quitté Maisons et Fresnay pour venir prendre position sur les hauteurs d'Eclance. Ce IV Corps devait se porter sur Chaumesnil et se relier à droite avec le Vem Corps (Wrède). Sa gauche était couverte par les cosaques de Karpoff et le corps volant du général prince Biron de Courlande. Mais avant d'arriver sur Chaumesnil Le IV Corps allait avoir de sérieuses difficultés à surmonter. Il lui fallait dabord passer par le bois de Beaulieu, par des chemins impraticables pour l'artillerie, puis avant d'aborder la hauteur de la Giberie, traverser un défilé marécageux battu et balayé par l'artillerie Française. Le général Stockmayer ne tarda pas à donner dans le bois de Beaulieu. Après une lutte assez vive, ces troupes avancées se décidèrent à céder le bois de Beaulieu et de se retirer en bonne ordre sur la Giberie. La brigade de Stockmayer est lancée contre la Giberie.


Plaque Etape n°8



Eglise de Chaumesnil Témoin de la Bataille.



Axe stratégique - à gauche la route en direction de Morvilliers au centre arrivée du Corps Austro-Bavarois de Wrède 11800 hommes et 3600 cavaliers  - avait ordre de marcher sur Morvilliers et Chaumenil - à droite de la photo la route qui vient de la Giberie - arrivée des troupes du prince Royal de Wurtemberg  12000 hommes et 2500 cavaliers pivote à droite en direction de beauvoir et Chaumesnil.

Axe stratégique - la route de Beauvoir à Morvillier emprunté par le Vem corps de Wrède. Marmont occupé avec la division Lagrange le village de Morvilliers. La cavalerie de Doumerc était déployée sur le plateau de Morvilliers, à la ferme de Beauvoir, face à la Chaise.

1 Février 1814
Les combats de Morvilliers

 
Pendant que la division Rechberg enlevait la ferme de Beauvoir,
Hardegg s'était avancé sur Morvilliers que la prise de Beauvoir
rendait d'autant plus intenable pour les Français que la
  dernière division du Vem corps, la division Spleny, venait de se
déployer en vue de ce village, sur la lisière même du bois et sur
la rive gauche de la Bourbonne. Les troupes françaises de Morvilliers  n'opposèrent
qu'une assez faible résistance et se retirèrent
sur le bois d'Ajou, couvertes par la cavalerie de Doumerc, dont
les charges ne purent que ralentir, sans parvenir à les arrèter,
les progrès de l'infanterie autrichienne.
Il était alors un peu moinsde 4 heures, lorsqu'un aide de camp
du prince royal de Wurtemberg vint demander à Wrède d'accentuer
son mouvement en avant et de tenter une diversion, ou tout
au moins une démonstration, assez sérieuse pour dégager le
IVEm corps fortement engagé et vigoureusement pressé par l'ennemi
du côté de La Giberie.
Wrède prit aussitôt ses mesures pour faire exécuter à son corps
une attaque générale contre Chaumesnil. Le général Frimont,
avec une partie des divisions Hardegg et Ia Motte, reçut l'ordre
de se porter contre Chaumesnil, en remontant le cours du ru de
Froideau pour menacer la face nord du village, pendant que
la division Rechberg, après avoir enlevé Bouillenrupt, se chargerait
de l'attaque de front.

Plaque Etape n°6








De Wrède prend Morvilliers - Marmont retraite



Considérations sur la Bataille de Chaumesnil (en construction)
Considérations sur la Bataille de Morvilliers (en construction)
Considérations sur la Bataille de la Giberie (en construction)

SACKEN  ENLEVE LA ROTHIERE


EGLISE DE LA ROTHIERE

 Epicentre de la fin de la Bataille de la Rothière - Combats entre les Russes d'Olsufieff et les Maries Louises - Intervention de la division  Rottembourg - La 2em division de grenadiers Russes du général lieutenant Paskiewitch et la brigade autrichienne du général Grimmer entrèrent en ligne. Les 2 régiments d'Astrakhan et de la petite Russie se précipitent sur les troupes de Rottembourg, la bataille est perdue, la retraite est donnée.

 


Position des Troupes Russes de Sacken venant de Trannes sur la Rothière.


Position des troupes Françaises - A droite de la Rothière.

1er  Février
TRANNES


Plaque Etape n°10




Considérations sur la Bataille de la Rothiere (en construction)

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suite des hauts lieux de la campagne de france 1814

29 Mars
Napoléon hésite sur le Pont de Daulancourt
-
28 Février
Combat à Dolancourt




Plaque Etape n°24 et 25




Sur la photo suivante -  la route qui mène à Dolancourt -  Passage du 2em Corps de Gerard, et du 7em Corps d'Oudinot  - tout en bas de la route le Pont de Dolancourt et juste après le VI de Kellerman  et le VII2b de Montfort en action contre  le VI de Palhen.

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28 Février - Combat de Dolancourt



 A 11h00 du matin, les 2 corps Français placés sous les ordres du Maréchal Oudinot (2em et 7em Corps) s'étaient portés sur Bar-sur-Aube. Vers 1h00 les têtes de colonnes françaises débouchent par la route de Magny-Fouchard à Dolancourt. Cette colonne composée de troupes d'infanterie et de cavalerie est soutenue par 2 batteries d'artillerie dons les boulets balayent le pont de Dolancourt que les Alliès ont négligé de détruire, attaque les troupes de Hardegg, force le passage de l'Aube, démolit les barricades élevées à la sortie du pont et oblige Hardegg à se retirer sur ses soutiens. La cavalerie Française passe le pont de Dolancourt, poursuit l'infanterie autrichienne qui se retire de position en position, d'Arsonval puis Bar-sur-Aube.

la poursuite sur Lignol (en construction)



25 Février
l'affaire de cavalerie de Magny-Fouchard
Hauts lieux de la Campagne de France


Plaque Etape n°23



Vendeuvre  - Position autour du Chateau de la Vem de cavalerie de Milhaud, et du IIem de Gerard.


 BATAILLE DE MAGNY FOUCHARD

Affaire de cavalerie de Magny - Fouchard - Le prince royal de Wurtemberg, qui avait pris ce jour-là, le commandement de l'arrière garde, avait eu de la sorte tout le temps de faire filer le gros de son infanterie, par Bar-sur-Aube, sur Dolancourt. Sa cavalerie légère, soutenue par les cuirassiers Russes de Duka établis à Magny-Fouchard, et auxquels les cuirassiers de Nostitz  servaient de réserve à Maison des Champs, observait Vendeuvre.
Vers 2h00, quatre escadrons français débouchent de Vendeuvre et tâtent les chasseurs à cheval Wurtembergeois, qui les repoussent vers le village. L'avant garde du IIem Corp sort à ce moment de Vendeuvre et se porte sur Magny-Fouchard.
"J'avais des raisons majeures pour éviter un engagement sérieux, je repliai donc mon avant-garde en arrière du village écrit le prince royal à Schwarzenberg, et tout se borna à une simple canonnade. D'après le dire des prisonniers, l'Empereur avec le gros de ses forces, se serait porté hier vers sa droite laissant seulement un corp à Troyes et un à Bar-sur-Aube. Je ramène ce soir mes avant-postes jusque vers Dolancourt.


La route qui mène de Vendeuvre à Magny-fouchard juste devant la foret à droite de l'image - c'est ici qu'a eut lieu la première rencontre, le premier choc entre la cavalerie de Milhaud et l'arrière-garde de Wurtemberg - la seconde rencontre a consistée à un échange d'artillerie entre les 2 camps.


L'entrée de Magny-Fouchard - Position de la cavalerie de Milhaud.

Position de Duka  au village de Maison des-Champs (en construction)
Position de Nostitz et son départ vers Spoy (en construction)
Position de Wurtemberg sur Dolancourt (en construction)


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1er Mars
Mesnil Saint-Père
Hauts lieux de la Campagne de France






 La suite en construction...